13 septembre 2013
Souviens-toi d'oublier pour vivre
C'est lorsque les souvenirs sont enfin devenus libres,
dissociés de nos besoins et de nos fixations
et qu'ils parviennent au stade supérieur de l'insignifiance,
que le vivre, délesté de la tyrannie du sens,
peut se déployer dans l'Ouvert.
Méditation autour de la formule nietschéenne remaniée à l'occasion du café-philo :
"Souviens-toi d'oublier pour vivre".
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