18 décembre 2010
Du désir comme puissance silencieuse
Le désir est manque et le manque est souffrance. Telle est une des thèses qui fonde le pessimisme de Schopenhauer pour qui « l'homme oscille sans cesse, tel un pendule, de droite à gauche, de la souffrance à l'ennui ». Autant dire que le désir paraît...